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COURPALAY : son Maire, son Histoire(s) sa vie, ses hameaux
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22 novembre 2021

NOUVEAU AGRICULTEURS

Qui sont les agriculteurs français d'aujourd'hui ?
Les agriculteurs ont des revenus plus faibles que les autres professions.
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Dans les années 1950, le secteur agricole comptait un actif sur trois. Aujourd'hui, le nombre d'agriculteurs en France a été divisé par trois. L'évolution de l'agriculture a suivi celle de la société : l'attrait des campagnes en baisse pendant plusieurs décennies et un modèle de production qui s'est métamorphosé. Face à ces mutations, une question se pose : qui sont les agriculteurs aujourd'hui ? Connaissez-vous réellement leur profil ?

D'après des données de 2020, voici le portrait robot de l'agriculteur français : il a environ 52 ans (11 ans de plus que l'âge moyen des actifs français). Il dispose en moyenne de 63 hectares, soit 7 hectares de plus qu'en 2010. En France, 1/3 des agriculteurs sont des femmes, davantage présentes dans les productions ovines, viticoles et caprines. En 2017, la MSA (Mutualité Sociale Agricole) dénombrait 453 113 chefs d'exploitation ou d'entreprise agricole sur le territoire français.

Combien gagnent-t-ils en moyenne ?

Les producteurs agricoles continuent, en, moyenne, d'avoir des revenus modestes, une raison de plus de soutenir ces emplois localement. D'après une étude de la Mutualité Sociale Agricole (MSA, 2016), ils atteignaient environ 15 000 euros par an, soit 1250 euros en moyenne par mois. Un tiers des agriculteurs touche moins de 350 euros par mois et vit en dessous du seuil de pauvreté.

Mais depuis une dizaine d'années, des initiatives lancées par des enseignes, des coopératives, des associations se développent pour remettre les producteurs au centre de l'échiquier de notre alimentation. Ces démarches sont vectrices de durabilité pour l'agriculture et prônent une production plus responsable, faisant évoluer les agriculteurs vers un nouveau rôle, celui de producteurs et commerçants. Par exemple, Intermarché se mobilise durablement auprès des producteurs français, pour une meilleure rémunération de leur travail avec la création de la marque " Les éleveurs vous disent MERCI ! ". Avec cette marque, Intermarché s'engage aussi pour la biodiversité, l'environnement et le bien-être animal.

Quelles transformations connaît le métier d'agriculteur ?

Entre 2000 et 2016, la France a perdu un quart de ses exploitants, aujourd'hui, le métier d'agriculteur tend à se rapprocher de celui d'un chef d'entreprise. En plus de cultiver leur terre ou de s'occuper de leur élevage, certains agriculteurs veillent également à la gestion commerciale, logistique, administrative et comptable de leur exploitation. Ils sont aussi de plus en plus nombreux, notamment la nouvelle génération, à être titulaires d'un diplôme de niveau baccalauréat ou d'un niveau supérieur.

Les agriculteurs s'engagent pour mieux produire avec une agriculture plus saine. Pour exemple, en 1995, 0,4% de la surface agricole utilisée était bio contre 5,7% en 2016.

Qui sont les nouveaux dirigeants d'exploitations ?

Les nouveaux patrons d'exploitation ne sont plus forcément issus des familles d'agriculteurs. Les difficultés du quotidien et les nombreuses attentes sociétales ont tendance à dissuader les enfants d'agriculteurs de reprendre l'exploitation familiale, au profit de citadins qui s'installent en milieu rural, à la recherche de sens en leur métier. Actuellement, un tiers des installations se fait hors du cadre familial et 20 % des agriculteurs n'ont pas de parents dans le secteur (+10 % en vingt-cinq ans).

Les jeunes exploitants sont aujourd'hui en quête de rentabilité et de flexibilité et optent pour des espaces plus grands que leurs aînés.

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22 novembre 2021

Méthanisation : un digestat bien indigeste pour les sols et les eaux.

C’est maintenant que tout se joue…

La communauté scientifique ne cesse d’alerter sur le désastre environnemental qui s’accélère et s’aggrave, la population est de plus en plus préoccupée, et pourtant, le sujet reste secondaire dans le paysage médiatique.
Ce bouleversement étant le problème fondamental de ce siècle, nous estimons qu’il doit occuper une place centrale et quotidienne dans le traitement de l’actualité.


Contrairement à de nombreux autres médias, nous avons fait des choix drastiques :

  • celui de l’indépendance éditoriale, ne laissant aucune prise aux influences de pouvoirs. Reporterre est géré par une association d’intérêt général, à but non lucratif. Nous pensons qu’un média doit informer, et non être un outil d’influence de l’opinion au profit d’intérêts particuliers.

  • celui de l’ouverture : tous nos articles sont en libre accès, sans aucune restriction. Nous considérons que l’information est un bien public, nécessaire à la compréhension du monde et de ses enjeux. Son accès ne doit pas être conditionné par les ressources financières de chacun.

  • celui de la cohérence : Reporterre traite des bouleversements environnementaux, causés entre autres par la surconsommation, elle-même encouragée par la publicité. Le journal n’affiche donc strictement aucune publicité. Cela garantit l’absence de lien financier avec des entreprises, et renforce d’autant plus l’indépendance de la rédaction.

En résumé, Reporterre est un exemple rare dans le paysage médiatique : totalement indépendant, à but non lucratif, en accès libre, et sans publicité.
Le journal emploie une équipe de journalistes professionnels, qui produisent chaque jour des articles, enquêtes et reportages sur les enjeux environnementaux et sociaux. Nous faisons cela car nous pensons que la publication d’informations fiables, transparentes et accessibles à tous sur ces questions est une partie de la solution.

Vous comprenez donc pourquoi nous sollicitons votre soutien. Des dizaines de milliers de personnes viennent chaque jour s’informer sur Reporterre, et de plus en plus de lecteurs comme vous soutiennent le journal. Les dons de nos lecteurs représentent plus de 97% de nos ressources. Si toutes les personnes qui lisent et apprécient nos articles contribuent financièrement, le journal sera renforcé. Même pour 1 €, vous pouvez soutenir Reporterre — et cela ne prend qu’une minute. Merci.

CE QUI VOUS ATTEND :
  - Paysage détruit, saccagé,

Côté pile, la méthanisation permet de produire du gaz renouvelable et d’assurer aux éleveurs d’importants compléments de revenus. Côté face, elle présente une vraie menace de pollution des sols et d’émission de gaz à très grand effet de serre. Voici le deuxième volet de notre enquête sur ce mode de production d’énergie.

  • Rennes (Ille-et-Vilaine), correspondance

En 2014, lorsque son méthaniseur est entré en fonctionnement, l’éleveur Stéphane Bodiguel a révolutionné sa pratique. Il élève des vaches laitières, des allaitantes, il fait aussi de l’engraissement et des céréales à Sixt-sur-Aff, dans le sud de l’Ille-et-Vilaine. « J’ai repris la ferme de mes parents avec mon frère, mais je n’ai jamais eu la passion pour les animaux, encore moins du lait. À 300 euros la tonne, on est en dessous du prix de revient, c’était intenable. » C’est un reportage sur la méthanisation en Allemagne qui lui a donné l’envie de se lancer. Après cinq ans de réflexion, il a installé un méthaniseur sur sa ferme, et récemment un nouveau moteur pour atteindre une puissance de 610 kW. Autant dire un gros méthaniseur, qui ingurgite pas moins de 30 tonnes de matières par jour. La moyenne des méthaniseurs à la ferme en Bretagne tourne autour des 100, 150 kW.

Comme dans toute exploitation équipée de ce système de production de gaz, le décor change. La première chose qui saute aux yeux est le stockage des matières à injecter dans le méthaniseur, aussi appelé « digesteur ». À droite, une montagne de fumier, à gauche un tas de marc de pommes, ici des graisses issues de l’agroalimentaire. Étonnamment, ces tas de déchets ne dégagent pas d’odeur gênante. Vient ensuite le dôme, le couvercle de cette marmite géante qu’est le digesteur. Stéphane Bodiguel n’en a qu’un ; mais, au nord de Rennes, l’éleveur François Trubert en a deux. « J’ai un digesteur et un post-digesteur. Cela permet d’avoir une fermentation plus longue et d’obtenir un digestat de meilleure qualité », explique ce dernier.

Un méthaniseur d’une puissance de 610 kW.

En regardant par le hublot de la grosse marmite, on a l’impression de voir un énorme pot-au-feu en train de mijoter, avec de grosses bulles qui explosent à la surface de la mixture. À la différence que l’on ne salive pas devant ce spectacle.

22 novembre 2021

METHANISEUR INFOS 1



Pourquoi ce site ?
Un nouveau projet de méthaniseur doit être implanté sur la commune de Courpalay.
La population a le droit de savoir ce qu'il en est :
  - Quels sont les risques liés a ce méthaniseur ?
  - Que vont devenir les chemins ruraux ?
  - Quel intérêt financier pour la commune ?
  - . . .
Aucune enquête publique n'est nécessaire pour la réalisation d'un tel projet. Seul le dossier doit être mis a disposition du public à la Mairie de Courpalay.
Il sera consultable du 15 novembre au 13 décembre.

Venez nombreux le consulter, posez nous des questions, nous ferons tout notre possible pour vous informer.

à suivre ...

20 novembre 2021

SITE METHANISEUR

 

TRACT METHANISEUR

Pour suivre les informations : https//www.courpalay-cordoux-methaniseur.com
Pour nous contacter : courpalay.methaniseur@gmail.com

 à suivre ... il n'y en aura pas une mais des suites !!!

15 novembre 2021

METHANISEUR

 

                                        TRACT METHANISEURTRACT_METHANISEUR

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15 novembre 2021

METHANISEUR

TRACT_METHANISEUR_1

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