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COURPALAY : son Maire, son Histoire(s) sa vie, ses hameaux

COURPALAY : son Maire, son Histoire(s) sa vie, ses hameaux
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27 mai 2023

FOVET / GARNOT

Qu’il est loin le temps OU ...

Madame Elisabeth Fovet qui n'est qu'une pièce rapportée,l'épouse, j'en doute fort de Monsieur J.P. Garnot !
Qu’il est loin le temp ou

- elle devait récolter des fonds aupré des habitants pour m'aider à payer les frais de justice du procés
  intenter par Saadia,   (j’attends toujours …)
- elle s’arrêtait pour boire un café,
- ou elle devait venir m’aider à repeindre ma salle de séjour,
  (je l’attends toujours … ça fait huit ans)
- ou elle me demandait de venir vérifier à "ATTAC" (aujourd'hui "CARREFOUR") si la maitresse de son amant

   n'était pas avec ce dernier. (la maitresse est prof' est une collègue de la femme de son amant)
- ou elle venait me chercher pour l’aider à faire ses achats chez IKEA,
   (sur le compte de la ferme de monsieur)

- ou l’élève de Michel Galabru me demandait de réaliser
  l’affiche de la pièce de théâtre ou elle se produisait en vedette à "L"hotel de France" de Rozay,
  (je la pensais capable puisqu’ayant fait "les arts décos" c’était une des nombreuses cordes 
  de son arc),

- comme …
   la trompette (dans quoi souffle t-elle,)
   le chant (virée de partout)
   la gym (virée de partout)
   le tennis (Roland Garros ... en spectatrice)

Loin d'être la dernière, mais n'assume pas !
  - la banderole au monument aus morts pendant le Covid c'est elle
  - les stickers sur les panneaux municipaux désobligeants encore elle
                                  
                                                  J'AI LES PREUVES

Elle a la casquette mais ne règle RIEN !!!
Surtout pas si elle n'est pas l'initiatrice !

à suivre ... à compléter car les griefs ne manquent pas.

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31 janvier 2023

Si t'as besoin ...

Si t'as besoin ...
   - d'une info,
   - d'un renseignement ...
Tu vas sur le Site de la mairie, tu suis la procédure, et t'attends ...
... et tu n'as JAMAIS la réponse !
Alors tu fais un copier coller du message et tu l'envoie par mail au maire.
T'AS PAS PLUS DE REPONSE étant plus interessée de savoir si son amant voit toujours sa maitresse.

à suivre ...

31 janvier 2023

NOUVEAUX CONSEILS

Ils étaient soudés, ils ne sont plus que 14.
Au moins deux ou trrois étaient au ba de FAUX CULS !

Le "ROI" du collectif et ancien maire. Celui qui dit mais qui fait RIEN !
Sur son égérie Mme E.F. et plus bandante que Mme C.M. !
Il a peut être besoin de ???, ou il veut faire passer quelque chose en douce.

à suivre ...

17 décembre 2022

Devinette.

Il a été maire,
Le voilà adjoint,
Va t-il finir conseiller ?
Un indice ?
Il habite à Grand Bréau.

Mairie de Floirac - silhouette-of-a-man-36181_960_720 - Mairie de Floirac

... à suivre.

14 octobre 2022

PENURIE MON CUL !

Pas de restriction de carburant pour la construction du méthaniseur à Cordoux ! (commune de Courpalay).

 

index (2)

 

Que ne ferais t-on pas pour remplir son porte monnaie ?
Sans pitié pour la nature !🫣
... à suivre.
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14 juillet 2022

Je ne suis pas mort ...

Bonjour à toutes et à tous,

Mme E. Garnot, née Fovet, n'a pas eu la décence de me contacter pour que rejoigne sa liste après la démission de M. T. HERRY.
Ni même M. Prudon ancien maire, ni M. T. Maureur 1er adjoint ne l'ont fait alors que j'ai fait parti de la précédente mubicipalité avec eux.
J'avais sollicité M.Prudon, en présence de Mme C. Mercier désireuse de  "sauver" le soldat Michel !
Mais celui-ci se sentait trop vieux ?
A t-il fait une cure de rajeunissement puisque le voilà adjoint ?
L'art et la manière de retourner sa veste !

Après le refus qui m'a été stipulé de rejoindre le froupe facebook "Courpalay son village et ses hameaux" Habitant Courpalay, hameau de Cordoux, depuis 52 ans, ancien adjoint, je reste étonné de ce refus, de cette LACHETE !

je n'en resterais pas moins vigilant, et n'hésiterais pas à commenter les informations et décisions de ce nouveau "gouvernement".
A bon entendeur.

Cordialement.

J.M. Gorel
... à suivre

14 juillet 2022

COMMUNICATION

Bonjour à toutes et à tous,
Habitant Courpalay, hameau de Cordoux, depuis 52 ans, ancien adjoint, je reste étonné de ce manque de communication !
Ce nouveau gouvernement à la mémoire courte. Est ce par lâcheté ?
Je reste vigilant, et n’hésiterais pas à communiquer par d'autres moyens.
A bon entendeur.
... à suivre.

 

 

24 février 2022

ELECTIONS MUNICIPALES

Et encore un p'tit tour !
2020 le maire sortant M. Prudon. " j'suis trop vieux, j'y retourne pas" !
Malgré les supplications de Mme C. Mercier : "il faut sauver le soldat M.P."
Ne jurant que pour sa paroisse, (il faut payer les travaux) elle rejoint T. Herry, petit bonhomme qui brigue la place depuis des années (3 mandatures = + de 15 ans) et Mme Alexis, née Corade.
Ces deux derniers étaient déjà en place avec Mme B. Goasdoué > demissionnaire au bout de 18 mois.
Sans opposition, il a un boulevard devant lui ! Mais ...
Un p'tit tour, 18 mois, et rebelotte T. Herry démissionne pour des raisons futiles.
C'est devenu une habitude, on recommence, encore et encore.
M. Prudon à du faire une cure de jouvance, il replonge, bien entouré.
Bien entouré, c'est certain, car même si ayant fait parti de son équipe en 2015 je n'ai pas été contacté.
A Cordoux, on ne voit personne, mais on sait TOUT !
L'équipe étonnante !
Elisabeth Garnot, née Fovet, tête de liste.
Elle a tout fait : comptable, les Ars Décos,Instit,du thétre avec M.Galabru, de la tropette, du chant, de la gym ...

Normal elle est très agée, née en 1907 comme stipulé sur sa page "FaceBook !
Un nouvelle corde à son arc.
En est elle capable avec toutes ses activités ?
Fini tous les p'tits à cotés, les va et vien dans sa p'itite auto, les frais aux idées de grandeurs, les escapades, tout aux frais de l'exploitation de son Monsieur ?
M. Prudon,
C. champennois,
T. Maurer,
Karinne Jarry,
S.Caldonazzo,
Nathalie Venard Cultivatrice, épouse de M. "méthaniseur" à Cordoux
Nicolas Duffand,
Jéremy Lombard,
F. Malherbe,
Geoffroi Benoit,
Merde ... il m'en manque quatre !
Des suggestions : les pétitionnaires de la rue Lafayette. Ceux qui se plaignent du grand nombre de camions qu'ils l'emprunte.
Mais, je n'y comprends plus rien, et ne peux que constater qu'il y a des "faut culs", des lâcheurs, des qui retournent leur veste ...
... à suivre.

22 novembre 2021

NOUVEAU AGRICULTEURS

Qui sont les agriculteurs français d'aujourd'hui ?
Les agriculteurs ont des revenus plus faibles que les autres professions.
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Dans les années 1950, le secteur agricole comptait un actif sur trois. Aujourd'hui, le nombre d'agriculteurs en France a été divisé par trois. L'évolution de l'agriculture a suivi celle de la société : l'attrait des campagnes en baisse pendant plusieurs décennies et un modèle de production qui s'est métamorphosé. Face à ces mutations, une question se pose : qui sont les agriculteurs aujourd'hui ? Connaissez-vous réellement leur profil ?

D'après des données de 2020, voici le portrait robot de l'agriculteur français : il a environ 52 ans (11 ans de plus que l'âge moyen des actifs français). Il dispose en moyenne de 63 hectares, soit 7 hectares de plus qu'en 2010. En France, 1/3 des agriculteurs sont des femmes, davantage présentes dans les productions ovines, viticoles et caprines. En 2017, la MSA (Mutualité Sociale Agricole) dénombrait 453 113 chefs d'exploitation ou d'entreprise agricole sur le territoire français.

Combien gagnent-t-ils en moyenne ?

Les producteurs agricoles continuent, en, moyenne, d'avoir des revenus modestes, une raison de plus de soutenir ces emplois localement. D'après une étude de la Mutualité Sociale Agricole (MSA, 2016), ils atteignaient environ 15 000 euros par an, soit 1250 euros en moyenne par mois. Un tiers des agriculteurs touche moins de 350 euros par mois et vit en dessous du seuil de pauvreté.

Mais depuis une dizaine d'années, des initiatives lancées par des enseignes, des coopératives, des associations se développent pour remettre les producteurs au centre de l'échiquier de notre alimentation. Ces démarches sont vectrices de durabilité pour l'agriculture et prônent une production plus responsable, faisant évoluer les agriculteurs vers un nouveau rôle, celui de producteurs et commerçants. Par exemple, Intermarché se mobilise durablement auprès des producteurs français, pour une meilleure rémunération de leur travail avec la création de la marque " Les éleveurs vous disent MERCI ! ". Avec cette marque, Intermarché s'engage aussi pour la biodiversité, l'environnement et le bien-être animal.

Quelles transformations connaît le métier d'agriculteur ?

Entre 2000 et 2016, la France a perdu un quart de ses exploitants, aujourd'hui, le métier d'agriculteur tend à se rapprocher de celui d'un chef d'entreprise. En plus de cultiver leur terre ou de s'occuper de leur élevage, certains agriculteurs veillent également à la gestion commerciale, logistique, administrative et comptable de leur exploitation. Ils sont aussi de plus en plus nombreux, notamment la nouvelle génération, à être titulaires d'un diplôme de niveau baccalauréat ou d'un niveau supérieur.

Les agriculteurs s'engagent pour mieux produire avec une agriculture plus saine. Pour exemple, en 1995, 0,4% de la surface agricole utilisée était bio contre 5,7% en 2016.

Qui sont les nouveaux dirigeants d'exploitations ?

Les nouveaux patrons d'exploitation ne sont plus forcément issus des familles d'agriculteurs. Les difficultés du quotidien et les nombreuses attentes sociétales ont tendance à dissuader les enfants d'agriculteurs de reprendre l'exploitation familiale, au profit de citadins qui s'installent en milieu rural, à la recherche de sens en leur métier. Actuellement, un tiers des installations se fait hors du cadre familial et 20 % des agriculteurs n'ont pas de parents dans le secteur (+10 % en vingt-cinq ans).

Les jeunes exploitants sont aujourd'hui en quête de rentabilité et de flexibilité et optent pour des espaces plus grands que leurs aînés.

22 novembre 2021

Méthanisation : un digestat bien indigeste pour les sols et les eaux.

C’est maintenant que tout se joue…

La communauté scientifique ne cesse d’alerter sur le désastre environnemental qui s’accélère et s’aggrave, la population est de plus en plus préoccupée, et pourtant, le sujet reste secondaire dans le paysage médiatique.
Ce bouleversement étant le problème fondamental de ce siècle, nous estimons qu’il doit occuper une place centrale et quotidienne dans le traitement de l’actualité.


Contrairement à de nombreux autres médias, nous avons fait des choix drastiques :

  • celui de l’indépendance éditoriale, ne laissant aucune prise aux influences de pouvoirs. Reporterre est géré par une association d’intérêt général, à but non lucratif. Nous pensons qu’un média doit informer, et non être un outil d’influence de l’opinion au profit d’intérêts particuliers.

  • celui de l’ouverture : tous nos articles sont en libre accès, sans aucune restriction. Nous considérons que l’information est un bien public, nécessaire à la compréhension du monde et de ses enjeux. Son accès ne doit pas être conditionné par les ressources financières de chacun.

  • celui de la cohérence : Reporterre traite des bouleversements environnementaux, causés entre autres par la surconsommation, elle-même encouragée par la publicité. Le journal n’affiche donc strictement aucune publicité. Cela garantit l’absence de lien financier avec des entreprises, et renforce d’autant plus l’indépendance de la rédaction.

En résumé, Reporterre est un exemple rare dans le paysage médiatique : totalement indépendant, à but non lucratif, en accès libre, et sans publicité.
Le journal emploie une équipe de journalistes professionnels, qui produisent chaque jour des articles, enquêtes et reportages sur les enjeux environnementaux et sociaux. Nous faisons cela car nous pensons que la publication d’informations fiables, transparentes et accessibles à tous sur ces questions est une partie de la solution.

Vous comprenez donc pourquoi nous sollicitons votre soutien. Des dizaines de milliers de personnes viennent chaque jour s’informer sur Reporterre, et de plus en plus de lecteurs comme vous soutiennent le journal. Les dons de nos lecteurs représentent plus de 97% de nos ressources. Si toutes les personnes qui lisent et apprécient nos articles contribuent financièrement, le journal sera renforcé. Même pour 1 €, vous pouvez soutenir Reporterre — et cela ne prend qu’une minute. Merci.

CE QUI VOUS ATTEND :
  - Paysage détruit, saccagé,

Côté pile, la méthanisation permet de produire du gaz renouvelable et d’assurer aux éleveurs d’importants compléments de revenus. Côté face, elle présente une vraie menace de pollution des sols et d’émission de gaz à très grand effet de serre. Voici le deuxième volet de notre enquête sur ce mode de production d’énergie.

  • Rennes (Ille-et-Vilaine), correspondance

En 2014, lorsque son méthaniseur est entré en fonctionnement, l’éleveur Stéphane Bodiguel a révolutionné sa pratique. Il élève des vaches laitières, des allaitantes, il fait aussi de l’engraissement et des céréales à Sixt-sur-Aff, dans le sud de l’Ille-et-Vilaine. « J’ai repris la ferme de mes parents avec mon frère, mais je n’ai jamais eu la passion pour les animaux, encore moins du lait. À 300 euros la tonne, on est en dessous du prix de revient, c’était intenable. » C’est un reportage sur la méthanisation en Allemagne qui lui a donné l’envie de se lancer. Après cinq ans de réflexion, il a installé un méthaniseur sur sa ferme, et récemment un nouveau moteur pour atteindre une puissance de 610 kW. Autant dire un gros méthaniseur, qui ingurgite pas moins de 30 tonnes de matières par jour. La moyenne des méthaniseurs à la ferme en Bretagne tourne autour des 100, 150 kW.

Comme dans toute exploitation équipée de ce système de production de gaz, le décor change. La première chose qui saute aux yeux est le stockage des matières à injecter dans le méthaniseur, aussi appelé « digesteur ». À droite, une montagne de fumier, à gauche un tas de marc de pommes, ici des graisses issues de l’agroalimentaire. Étonnamment, ces tas de déchets ne dégagent pas d’odeur gênante. Vient ensuite le dôme, le couvercle de cette marmite géante qu’est le digesteur. Stéphane Bodiguel n’en a qu’un ; mais, au nord de Rennes, l’éleveur François Trubert en a deux. « J’ai un digesteur et un post-digesteur. Cela permet d’avoir une fermentation plus longue et d’obtenir un digestat de meilleure qualité », explique ce dernier.

Un méthaniseur d’une puissance de 610 kW.

En regardant par le hublot de la grosse marmite, on a l’impression de voir un énorme pot-au-feu en train de mijoter, avec de grosses bulles qui explosent à la surface de la mixture. À la différence que l’on ne salive pas devant ce spectacle.

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